140 pour cent

y a une place pour moi, lol!!!!!

D'après la revue CAPITAL, les revenus 2006 des cinquante patrons français les mieux payés d'élèvent en moyenne à 3,8 millions d'euros. Et apparemment cela ne semble choquer personne...

On dirait que vous découvrez la réalité sociale en France ; l'échelle des revenus qui était de 1 à 50 il y a déjà 20 ans s'est encore étendue pour être de l'ordre de 1 à 75... Politique ça rapporte peu en fait par rapport à l'investissement, il faut préférer les affaires pour s'enrichir.

Et il y a aussi une voie de qualité de vie avec un revenu moyen assuré et penser loisirs...

Des choix fondamentaux, c'est sûr. Est-on plus heureux avec un yacht amarré à Saint Trop et un équipage en tenue ou attablé à la terrasse d'un bon resto du coin à regarder ces nouveaux singes qui peuvent distraire un peu
?

C'est la logique capitaliste et Sarko est un mec à fric, prêt à tout pour rentabiliser son élection et il faut qu'il paie une pension alimentaire maintenant... L'opinion publique est du pipi de chat puisque la mémoire collective de ces faits ne dépasse pas trois mois et lors des élections,la plupart des électeurs avouent ne pas hésiter à voter pour d'anciens truands politiciens. En l'occurrence, il va être augmenté avec une loi...
La gauche est trop conne en ce moment pour incarner une moralité et une crédibilité politiques aujourd'hui, donc on peut s'attendre encore à d'autres scandales, excés de ce genre.
A comparer, les Lagardère et Forgeard ou autres PDG de société privées se sont mis ou se mettent bien autre chose en niveau de fric dans les poches...

On pourra venir prendre le thé à l'Elysée ? Tu vas y arriver j'en suis sûr, tu as des arguments graves pour favoriser la croissance et ses aller retour permanents. Mais tu vas être déçue c'est uniquement de l'agitation médiatique. Cécile l' y a bien vu !

Sur l'économie ou autre, mes réponses de ce jour à trois articles du Point ; il vaudrait mieux t'être mieux que ce soit moi qui se dévoue pour aller à l'Elysée ? M'enfin, Sarko pas mon genre, moi j'aime mieux les poulettes de bord de mer !

L'éditorial de Claude Imbert
Le mirage sudiste
01/11/2007 - Claude Imbert - © Le Point - N°1833
Cinq mois après son avènement, le sarkozysme ne se trahit pas. Retraites, immigration, environnement, ni la volonté ni l'énergie ne désarment…..

Quétinois Un Plan Marshall !
jeudi 1 novembre | 10:50
Ces constructions politiques seront longues à mettre en oeuvre en raison des dissensions et divergences d'intérêts ou d'alliances du pourtour méditerranéen ; seul le réhaussement du niveau de vie des populations donnera de la valeur à des actes forts de stratégie politique. L'Europe peut par contre entreprendre rapidement un plan "Marshall" adapté en finançant directement des infrastructures dans les pays les plus défavorisés pour éviter les "captages" de subventions. Ces grands travaux apporteront une émulation économique indispensable à la stabilisation des populations et à l'essor économique de l'Afrique tout entière. Donc des actes concrets bâtis sur des accords ciblés multilatéraux plutôt que l'enlisement de la grosse artillerie.


Le bloc-notes de Bernard-Henri Lévy

Quand la gauche a le choix entre s'enferrer ou ressusciter
01/11/2007 - Bernard-Henri Lévy - © Le Point - N°1833
Olivier Besancenot devant les grands leaders de la gauche sociale-démocrate, à croire un sondage publié par L’Express de la semaine dernière. Ce n’est qu’un sondage, naturellement. Et je n’ai rien, au demeurant, contre la personne même du très narcissique patron du « Parti d’Olivier ». Mais j’en ai après ses idées. J’en ai après ce qu’il représente. Et voir placer si haut notre dernier responsable à prôner la rupture avec le capitalisme, voir plébisciter un idéologue assez amnésique pour faire, avec Che Guevara, l’apologie d’un tortionnaire doublé d’un terroriste, voir 47 % de Français tomber dans le panneau de ce radicalisme « sympa » qui ne craint pas de prôner, au nom du vieux principe « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », l’entrisme dans les organisations islamistes radicales, tout cela me consterne et me navre...

Quétinois Gauche impotente !
jeudi 1 novembre | 11:31
Que de choses bien dites dans cet article auxquelles je souscris. Deux hommes politiques expriment aujourd'hui de vraies positions tranchées ; Sarkozy avec sa logique libérale et ses dérapages historiques assumés et Besancenot, avec les mêmes excès, son renoncement fort à ce modèle, incarnant ainsi la seule alternative. De son côté, la gauche dite de gouvernement "n'exprime" ... pas vraiment grand-chose du fait de l'absence de leadership et créativité en matière d'objectifs sociaux et économiques. En résumé, deux voies sans issue (cherchez la cohérence de la politique actuelle et surtout les prémices des résultats promis et de celle de l'utopie ultra de Besancenot qui conduirait au chaos) qui fédèrent les antagonismes habituels et de l'autre une marge d'expression paradoxalement très ouverte, bon sens oblige, à de vrais progressistes qui sont priés de "se mettre au boulot" et de s'organiser pour avoir eux aussi une vérité crédible et plutôt salvatrice pour le pays ! Les solutions "jouables" ne sont pourtant pas si complexes que ça à imaginer dans un pays qui n'est certainement pas en déclin !


Vive la crise !
01/11/2007 - par Jacques Marseille - © Le Point - N°1833
Tout se passe, en France, comme si la conjoncture économique prenait un malin plaisir à maltraiter la droite. En 1987, alors que Jacques Chirac inaugure la première cohabitation en promettant d'accomplir la « rupture » avec le socialisme pour occuper le terrain en vue de l'élection présidentielle de 1988, un krach boursier tel qu'on n'en avait plus connu depuis 1929 provoque une récession de courte durée, la croissance repartant à vive allure...


Quétinois La croissance se gère !
jeudi 1 novembre | 12:16
Au niveau de l'Etat, la croissance se gère en apportant, dans l'ordre, les ingrédients suivants à l'économie : de l'investissement dans les infrastructures publiques, industrielles et sociales comme le logement (mais "faiblitude" en la matière malgré des bénéfices "orientables" du CAC 40 et d'ailleurs sans précédent), de la recherche, encore de la recherche qui correspond à nos sociétés développées et à l'industrie adaptable (mais "pauvritude" des efforts de l'espèce qui ne sont à la hauteur d'aucun défi, même pas celui de l'environnement qui est pourtant un creuset d'emplois pour la décennie prochaine) et, sur la base de ces deux premiers "ingrédients", le développement des exportations de produits novateurs (marges possibles dans le numérique, les biens compatibles avec l'avenir de la planète dont l'auto-déplacement de demain...). Puis, en dernier "aromate" de cette recette basique : du pouvoir d'achat pour relancer la consommation intérieure des produits nationaux ainsi conçus... Mais cherchez l'erreur des stratégies passées et actuelles : on verse uniquement des aromates dans la casserole chaude, ce qui ne peut assurer aucun plat de résistance, symbole de croissance durable qui est indispensable pour soulager la dette publique et sociale. Avec cette pratique, on peut tout juste espérer faire un peu de cuisine chinoise qui ne peut convenir qu'à l'économie du même nom !

QUETINOIS a écrit:

On pourra venir prendre le thé à l'Elysée ? Tu vas y arriver j'en suis sûr, tu as des arguments graves pour favoriser la croissance et ses aller retour permanents. Mais tu vas être déçue c'est uniquement de l'agitation médiatique. Cécile l' y a bien vu !