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| préménopause | |
| | Auteur | Message |
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Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: préménopause Lun 8 Sep - 23:43 | |
| Préménopause et Ménopause L’âge de l’épanouissement pour la femme, 40 - 50 ans , est pourtant compliqué par les premiers signes de la ménopause.
Définitions : Ménopause :c’est la disparition des règles pendant 12 mois consécutifs.
Pré ménopause :. elle peut commencer dés 40 ans chez certaines femmes. Elle marque le début des règles irrégulières et s’accompagne d’un cortège de troubles : bouffées de chaleur, irritabilité, fatigue….
Le cycle menstruel Dans son fonctionnement normal pendant la période d’activité génitale :
Le cycle menstruel de 28 jours est régulé par 2 hormones : œstrogène, progestérone. La sécrétion d’œstrogène s’effectue surtout en préovulation dans la première partie du cycle, elle atteint son maximum à l’ovulation puis diminue. La sécrétion de progestérone intervient après l’ovulation.
La période d’activité génitale débute à l’adolescence avec les premières règles qui marque l’amorce de la puberté, elle se termine à la ménopause car la procréation est impossible par manque d’ovulation.
L’anarchie hormonale de la préménopause :
Le cycle de sécrétion œstrogène/progestérone qui permette le cycle est déréglé. Cela explique les règles irrégulières car la sécrétion d’œstrogènes s’affaiblit et l’ovulation n’a pas toujours lieu. Cette carence en oestrogènes est responsable de troubles dont la fréquence et l’intensité sont variables. Il est important de constater est que durant cette période où les oestrogènes, hormones femelles par excellence, sont appauvries, les hormones mâles continuent à être sécrétées dans les mêmes proportions. Il en résulte que l’équilibre mâle/ femelle est rompu, apparaissent alors progressivement quelques signes : acné, pilosité, perte des cheveux….
Les désagréments de la préménopause
Tous les signes sont à prendre en compte même si ils sont minimes. Il faut préciser ( voir ci dessous ) que les modifications induites et perçues pendant la préménopause et la ménopause varient considérablement d'une femme à l'autre ..Il en est de même pour les solutions à apporter ; le pragmatisme doit prévaloir : gardez ce qui fonctionne ..éliminez le reste !!
Les troubles de l’humeur :
Perte de la sérénité : Sautes d’humeur Mal être indicible Anxiété inexpliquée Déprime Les troubles du sommeil :
Réveils fréquents Episodes de sudation nocturne Les bouffées de chaleur :
Elles apparaissent la journée, sont imprévisibles et génèrent un sentiment de malaise et d’épuisement. Elles peuvent perturber la vie sociale et contribuer au mal être général.
Les hormones mâles s’activent :
Acné Pilosité Chute des cheveux La peau et les muqueuses souffrent :
Sécheresse (qui peut gêner la vie sexuelle) Perte de l’élasticité Que faire ?** Les compléments nutritionnels sont une solution naturelle et douce de prévenir certains de ces désagréments , notamment en alternative à un traitement hormonal substitutif ( 'THS' , sous prescription médicale exclusivement **) quand ceux ci ne sont pas recommandés ou désirés .
Plusieurs pistes d'action peuvent être recherchées :
a) les isoflavones de soja ' aglycones' sont étudiés d'une façon trés intensive ( en Europe, aux USA ) pour leur action « hormone like » qui remplace en partie la carence oestrogénique. Des signes évidents d'activité positive sur la réduction des bouffées de chaleur existent... ainsi que de farouches détracteurs également ,eux aussi avec des arguments ..Il semble difficile d'extraire un consensus de ces positions souvent influencées par des intérêts économiques . En France L' AFSAA ( www.afsaa.fr) a publié une étude trés prudente sur la question , mettant en avant le role prépondérant des enzymes de chaque individu dans la transformation fonctionnelle des isoflavones, ce qui explique les différences ressenties d'une femme à une autre avec une même cure .
Dés la premiere cure ,il convient d'estimer si la fréquence et l’intensité des bouffées de chaleur est réduite : en cas d'absence de résultat tangible :ne pas insister .. Cependant il faut tempérer : la majorité des femmes répond positivement !
b) la diminution de la nervosité qui accompagne souvent la ménopause est également l'un des facteurs sur lequel une action en douceur par des compléments alimentaires est possible et bienvenue ..Les plantes aux vertus apaisantes sont légion, il convient de retenir celles qui peuvent présenter une synergie avec le soja et/ou apporter un potentiel anti oxydant interessant
c) Les antioxydants sont un excellent moyen de prévenir le vieillissement et d’aider l’organisme à conserver ses atouts ; les bénéfices d'une prise réguliére d'anti oxydant s naturels sont de plus en plus reconnus , il ne faut pas s'en priver .Une prévention la plus précoce possible. est intéressante Des compléments nutritionnels élaborés avec sérieux et éthique peuvent être consommés sans danger le plus tôt possible. Cela peut s’envisager dés 40 ans. S’entretenir en anticipant est le plus sûr moyen de limiter les effets négatifs de la maturité .
** note : les compléments alimentaires ne sauraient se substituer à un traitement médical visant à soigner une pathologie ,leur consommation procède d'une hygiène préventive et ciblée telle que décrite ci dessus.
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| | | looping76 Bon posteur
Nombre de messages : 673 Age : 59 Date d'inscription : 25/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 19:03 | |
| tu ovules plus ??????????????, | |
| | | Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| | | | Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 20:40 | |
| Ménopause
. Le mot ne fait pas aussi peur que la peste au Moyen Age ou le cancer de nos jours, mais il évoque pour beaucoup de femmes des résonances douloureuses. Age critique pour les unes, terminus de la féminité et entrée dans la vieillesse pour d’autres. Période difficile à vivre pour toutes, tant psychologiquement qu’au niveau physiologique. Or, rien n’est faux. On peut vivre la ménopause différemment. En la pensant, en la préparant, en la traitant à la fois de manière plus sérieuse et moins tragique.
Il est difficile de savoir comment la ménopause était vécu jadis. On a de bonnes raisons de penser que pendant des siècles, compte tenu de l’âge précoce de la mortalité de l’espèce humaine, et chez le sexe féminin en particulier, la grande majorité des femmes n’atteignaient pas cette étape de leur vie. Déjà, sous cet angle, la ménopause, loin d’apparaître comme une période malheureuse, devrait plutôt être considérée comme la conquête d’une nouvelle tranche de vie. Vers la fin du 19e siècle, elle se situe entre trente-cinq et cinquante-cinq ans. Maintenant, l’âge moyen est aux alentours de la cinquantaine. Ce recul est principalement dû à l’amélioration des conditions de vie. Une femme est ménopausée lorsque l’arrêt des règles (aménorrhée) persiste depuis au moins un an. La période qui précède est appelée préménopause, celle qui suit est la postménopause.
Préménopause
Cette période est caractérisée par des irrégularités menstruelles, pouvant s’étendre sur une ou plusieurs années. Des troubles commencent à apparaître : migraine, irritabilité, prises de poids périodiques avant l’apparition des règles, état légèrement dépressif. Il ne faut pas hésiter à consulter régulièrement . Le médecin phyto-aromathérapeute dispose en effet de moyens efficaces tant au niveau de l’action hormonale qu’à celui de la circulation. La contraception pose des problèmes : elle est plus difficile à maîtriser qu’au moment où la femme est régulièrement réglée. En particulier, les techniques du type Ogino ou la méthode des températures ne sont pas fiables du tout. Si l’on porte un stérilet, il est préférable d’attendre un an complet après l’arrêt des règles avant de le faire enlever. Ce type de contraception présente à cet âge de nombreux inconvénients. La « pilule », c’est-à-dire la contraception hormonale, est également contre-indiquée, car elle risque d’accentuer le déséquilibre du terrain. Il est donc préférable de s’orienter vers une contraception locale : ovules, crèmes et tampons spermicides, préservatifs masculins. (voir les différentes méthodes de contraception ) Avec ou sans troubles, à partir de quarante ans il est conseillé à la femme de vaincre sa gêne ou sa peur de consulter régulièrement le médecin.
Ménopause
La femme ménopausée, aujourd’hui, est prise au sérieux par le corps médical : ce n’est pas une mince conquête ; elle n’est plus seule ave ses troubles, jugés exagérés ou intraitables. Les principales manifestations de la ménopause sont :
- les bouffées de chaleur, - les insomnies, - la fatigue, - un état dépressif plus ou moins latent, - le dessèchement de la peau et des muqueuses, en particulier une sécheresse vaginale, allant de pair avec une atrophie et des démangeaisons.
Pour tous ces troubles, la médecine classique et allopathique propose un traitement essentiellement hormonal. Les médecins phyto-aromathérapeutes sont d’un avis différent : à valeur thérapeutique égale, il leur semble préférable d’employer – comme l’indique le nom de cette médecine – les plantes (phyton) et les huiles essentielles (en abrégé H.E., encore appelées arômes ou essences). Par exemple, les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes – qui sont la traduction d’un désordre hormonal (manque de folliculine) et circulatoire – disparaissent certes avec une hormonothérapie, mais le traitement phytothérapique, à base d’hysope, de sauge, de cyprès, d’alchemille, de camomille, de mélliot, de houblon, est aussi efficace sans présenter les mêmes inconvénients . Nous ne préciserons davantage les traitements, car tout ce qui touche au terrain et aux activités hormonales doit être fondé sur un bilan précis et prescrit avec doigté et compétence. L’automédication n’est donc pas souhaitable. Il est important que les patientes soient informées de cette possibilité qui leur est offerte. Elles pourront, si elles le désirent, consulter un médecin ayant cette formation.
L’homéopathie offre des possibilités d’agir sur les troubles de la ménopause : Lachesis 9CH : 3 granules par jour jusqu’à amélioration (disparition des troubles, bouffées de chaleur, ostéoporose, troubles cardiaques, insomnies). Mais la ménopause peut entraîner certains complications, qu’il ne faut pas ignorer. Nous mentionnerons les deux principales, non pour effrayer les lectrices, mais pour permettre à temps une prévention et un traitement. Ce sont principalement les troubles circulatoires et les phénomènes de décalcification.
Risques cardio-vasculaires
Les risques coronariens sont statistiquement supérieurs chez les hommes. Mais lors d’un hystérectomie et lors de la ménopause, le taux d’œstrogènes lié aux fonctions du cycle ovarien baisse. On voit alors les risques coronariens remonter chez les femmes, pour rejoindre celui des hommes. Est-il possible de prévenir ce danger potentiel ? On peut pallier cet inconvénient de la ménopause en donnant des plantes ayant une action oestrogénique substituve (nous les avons mentionnés plus haut).
Il existe un « bon » et un « mauvais » cholestérol. Nous voulons dire par là que le cholestérol est un matériau indispensable à la construction de l’organisme vivant, mais lorsque son taux sanguin dépasse la norme (1,8g/l) et surtout lorsqu’il se dépose dans la paroi des vaisseaux – ce qui l’épaissit et la durcit -, il devient alors nuisible à la santé. Il est donc conseillé de réduire les aliments riches en cholestérol, essentiellement les corps gras d’origine animale (viandes, charcuteries, graisses animales, beurre) et de donner la préférence aux huiles et graisses végétales.
Les affections veineuses sont également fréquentes : varices, hémorroïdes, jambes lourdes. On évitera une alimentation trop riche. A titre thérapeutique, on utilisera de l’intrait de marron d’inde, seul ou en association avec de vigne rouge, des feuilles de noisetier en infusion (fraîches ou en poudre).
Risque de décalcification Dans la période postménopausique, une femme sur trois peut souffrir de décalcification pouvant conduire à de l’ostéoporose. Celle-ci survient dans les dix ans qui suivent l’arrêt de la fonction ovarienne. Ce phénomène est directement lié à la carence en oestrogènes. La densité osseuse est d’autant plus basse que la ménopause est plus précoce, car le calcium ne se fixe plus très bien. Les os sont plus fragiles et il en résulte des douleurs lombaires et dorsales.
Il est donc important de consulter et de mettre en œuvre un traitement dans les trois ans qui suivent l’arrêt des règles. Il est composé de trois volets :
- le traitement oestrogénique de substitution ; - des exercices physiques réguliers : marche, vélo, natation, gymnastique… ; - enfin un régime riche en calcium et en fixateurs de calcium. Mais le fromage, contrairement aux idées reçues, est trop riche pour cette période de la vie. Il faut préférer les yaourts et les fromages blancs à 0 %de matière grasse. On peut manger en petite quantité des oléagineux : amandes, noisettes. Pour éviter la déminéralisation, on utilisera des plantes comme la prêle, la renouée des oiseaux.
Troubles de la vie sexuelle
L’expression de la sexualité étant en rapport d’une part avec la vie psychologique, d’autre part avec le fonctionnement hormonal, il est doublement logique que la ménopause soit marquée par des perturbations de la libido. Le plus souvent, cela se traduit par une diminution de celle-ci. Généralement, le facteur psychologique est prédominant . il manifeste soit une aggravation d’un état antérieur insatisfaisant – la femme n’ayant jamais eu de vie sexuelle réellement épanouissante -, soit la montée d’un syndrome dépressif. C’est à ce double niveau que le thérapeute devra intervenir. Une fois ces problèmes réglés, la libido reviendra normale.
Mais il ne faut pas négliger l’aspect anatomique. La carence oestrogénique peut provoquer plus ou moins rapidement une sécheresse et une atrophie de la muqueuse vaginale. Les rapports sexuels peuvent devenir difficiles, parfois franchement douloureux ou impossibles. On peut obtenir une guérison sans nécessairement recourir à une chimiothérapie de type hormonal. Le phytothérapie et le médecin de terrain pourront prescrire à leurs patients des ovules à base de vitamines E et A ainsi que d’H.E. de sauge, qui régleront ce problème. L’expression de la vie sexuelle dépend beaucoup plus d’éléments psychosociaux que de facteurs hormonaux. Le premier organe sexuel de l’espèce humaine est le cerveau, avec le psychisme. Ce n’est pas la diminution d’un taux d’hormones – aisément compensable au demeurant – qui peut tuer la féminité d’une femme.
Pour mieux vivre sa ménopause
Cette période est souvent vécue par la femme avec un profond sentiment de vide affectif, d’humiliation, d’inutilité. « Je ne peux plus avoir d’enfants, je ne suis plus désirable. » Soyons clairs : il ne faut pas confondre fécondité et féminité. C’est l’âge de la perte de la fertilité et aussi des variations de la vie affective, certes, mais convenablement négociée et préparée par la culture d’une autre manière de penser, par la création d’un autre style de vie et de relations affectives, la postménopause peut apporter bien des joies.
Les intellectuelles sont généralement plus protégées, car elles vivent mieux ce changement. Elles savent mettre en place des mécanismes de défense et des activités compensatrices souvent très efficaces. Ce n’est peut-être plus l’âge des grandes passions (qui sait ?), mais c’est celui de satisfactions plus calmes, plus profondes et non moins épanouissantes. C’est la ménopause « active ». pour cela, la femme surveillera son poids et son alimentation, elle redoublera d’attention en ce qui concerne son hygiène de vie : élimination de l’alcool, de tabac, diminution des graisses, suppression du sucre – ce qui évitera les fringales et, par voie de conséquence, les risques d’obésité…Une exigence d’esthétique à l’égard de soi-même, la pratique d’une activité de détente ou d’une action sociale, des intérêts intellectuels à la satisfaction desquels on veille jalousement sont facteurs d’estime de soi et de victoire. Et si par bonheur les troubles décrits dans ces lignes n’apparaissent pas, ne pas s’inquiéter de ce que la ménopause est trop belle. Il est préférable de consulter de toute manière, mais chaque femme est unique et les variations individuelles sont courantes.
En conclusion, disons qu’il faut éviter la ménopause « passive ». en subissant cette étape, la femme risque de voir s’installer des troubles de caractère : agressivité, irritabilité, tendances dépressives ou hypocondriaques (le sujet se croit atteint de mille et un maux).
Vive la ménopause active ! La vie ne recommence pas à zéro, certes, mais va s’organiser différemment. Cet évènement n’est donc pas un terminus mais le signal d’un départ vers une autre vie, avec d’autre cadences, d’autres valeurs. En luttant activement contre les désagréments physiologiques et physiques, en investissant dans le présent et dans de nouveaux domaines, la femme de la cinquantaine ne regrettera pas trop l’époque du paraître et de la séduction si elle sait accéder au temps de l’être et à ses richesses.
ya rien de drole | |
| | | Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 20:55 | |
| pour les garcons
Ménopause pour les unes, andropause pour les autres?
La comparaison entre l’andropause et la ménopause est plutôt boiteuse.
L’andropause touche seulement une minorité d’hommes. Aussi, elle ne marque pas l’arrêt de la fertilité. Par ailleurs, le déclin hormonal chez l’homme est partiel, progressif et inconstant, contrairement à la femme, chez qui les hormones chutent de façon marquée sur une courte période de temps. Chez les hommes, une légère baisse de production de testostérone s’amorcerait dès la trentaine ou la quarantaine. D’après ce que les experts ont observé, la concentration en testostérone dans le sang diminuerait d’environ 1 % par année.........
On définit l’andropause comme l’ensemble des symptômes physiologiques et psychologiques qui accompagnent la baisse de testostérone chez l’homme vieillissant. Elle surviendrait habituellement entre 45 ans et 65 ans. L’andropause, du grec andros, qui signifie « homme », et pausis, « cessation », est souvent présentée comme le pendant masculin de la ménopause.
Ces symptômes vont de la baisse de l’appétit sexuel à l’arrivée de problèmes érectiles en passant par une sensation d’être à court d’énergie. Des épisodes de transpiration excessive, des problèmes d’insomnie et une prise de poids pourraient aussi s’ajouter aux répercussions d’un déclin de production d’hormones sexuelles. Considérée comme un dysfonctionnement par certains, comme une phase normale de la vie par d’autres, l’andropause demeure un sujet controversé. Qui plus est, le seul médicament offert, la testostérone, n’a pas fait ses preuves, que ce soit en matière d’efficacité ou d’innocuité.
.................................................................
Symptômes
haut
Chez certains hommes, ces symptômes peuvent s’expliquer par une baisse de la production de testostérone3.
Une baisse de l’appétit sexuel.
Des érections moins vigoureuses et moins fréquentes.
Des épisodes de transpiration excessive liés à un effort physique.
Une diminution d’énergie, une fatigue persistante et une perte du sentiment de bien-être.
De l’insomnie.
De l’irritabilité ou une humeur changeante.
Un état dépressif.
Une réduction de la masse musculaire, donc de la force physique.
Une augmentation de la graisse abdominale.
Une fragilité osseuse.
Une prise de poids.
Des douleurs musculaires et articulaires.
Une diminution de la pilosité.
...............................................................
Ces facteurs ont été associés à un plus faible taux de testostérone9.
La consommation excessive d’alcool et de marijuana.
Un surplus de poids. Une augmentation de quatre ou cinq points d’indice de masse corporelle équivaudrait à un vieillissement de dix ans relativement à la baisse de testostérone10.
L’obésité abdominale.
Le diabète et le syndrome métabolique.
Des taux de lipides sanguins, notamment le cholestérol, en dehors des valeurs normales.
Une maladie chronique.
Des problèmes au foie.
Le stress chronique.
La prise de certains médicaments, comme les antipsychotiques, certains antiépileptiques et les narcotiques.
ca fait peur hein | |
| | | Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 20:56 | |
| - Agatha76 a écrit:
pour les garcons
Ménopause pour les unes, andropause pour les autres?
La comparaison entre l’andropause et la ménopause est plutôt boiteuse.
L’andropause touche seulement une minorité d’hommes. Aussi, elle ne marque pas l’arrêt de la fertilité. Par ailleurs, le déclin hormonal chez l’homme est partiel, progressif et inconstant, contrairement à la femme, chez qui les hormones chutent de façon marquée sur une courte période de temps. Chez les hommes, une légère baisse de production de testostérone s’amorcerait dès la trentaine ou la quarantaine. D’après ce que les experts ont observé, la concentration en testostérone dans le sang diminuerait d’environ 1 % par année.........
On définit l’andropause comme l’ensemble des symptômes physiologiques et psychologiques qui accompagnent la baisse de testostérone chez l’homme vieillissant. Elle surviendrait habituellement entre 45 ans et 65 ans. L’andropause, du grec andros, qui signifie « homme », et pausis, « cessation », est souvent présentée comme le pendant masculin de la ménopause.
Ces symptômes vont de la baisse de l’appétit sexuel à l’arrivée de problèmes érectiles en passant par une sensation d’être à court d’énergie. Des épisodes de transpiration excessive, des problèmes d’insomnie et une prise de poids pourraient aussi s’ajouter aux répercussions d’un déclin de production d’hormones sexuelles. Considérée comme un dysfonctionnement par certains, comme une phase normale de la vie par d’autres, l’andropause demeure un sujet controversé. Qui plus est, le seul médicament offert, la testostérone, n’a pas fait ses preuves, que ce soit en matière d’efficacité ou d’innocuité.
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Symptômes
Chez certains hommes, ces symptômes peuvent s’expliquer par une baisse de la production de testostérone3.
Une baisse de l’appétit sexuel.
Des érections moins vigoureuses et moins fréquentes.
Des épisodes de transpiration excessive liés à un effort physique.
Une diminution d’énergie, une fatigue persistante et une perte du sentiment de bien-être.
De l’insomnie.
De l’irritabilité ou une humeur changeante.
Un état dépressif.
Une réduction de la masse musculaire, donc de la force physique.
Une augmentation de la graisse abdominale.
Une fragilité osseuse.
Une prise de poids.
Des douleurs musculaires et articulaires.
Une diminution de la pilosité.
Ces facteurs ont été associés à un plus faible taux de testostérone9.
La consommation excessive d’alcool et de marijuana.
Un surplus de poids. Une augmentation de quatre ou cinq points d’indice de masse corporelle équivaudrait à un vieillissement de dix ans relativement à la baisse de testostérone10.
L’obésité abdominale.
Le diabète et le syndrome métabolique.
Des taux de lipides sanguins, notamment le cholestérol, en dehors des valeurs normales.
Une maladie chronique.
Des problèmes au foie.
Le stress chronique.
La prise de certains médicaments, comme les antipsychotiques, certains antiépileptiques et les narcotiques.
ca fait peur hein | |
| | | looping76 Bon posteur
Nombre de messages : 673 Age : 59 Date d'inscription : 25/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 22:05 | |
| tu peux soulever le capot moteur ça tournes comme une horloge !!!!!!!!!! | |
| | | Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 22:13 | |
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| | | looping76 Bon posteur
Nombre de messages : 673 Age : 59 Date d'inscription : 25/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mar 9 Sep - 22:36 | |
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| | | Agatha76 Fondatrice
Nombre de messages : 6505 Age : 63 Localisation : Environs de Rouen Date d'inscription : 22/08/2007
| Sujet: Re: préménopause Mer 10 Sep - 13:47 | |
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| Sujet: Re: préménopause | |
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| | | | préménopause | |
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